Que fait-il concrètement ?
Le/la monteur/euse graphiste vidéo met en forme des images et des sons bruts afin d'agencer des séquences destinées à une diffusion télévisuelle, cinématographiques ou autres vecteurs de diffusion.
Il/elle travaille en aval de la phase « prise de vue/tournage » et en amont de la postproduction sonore et de la diffusion/exploitation du produit.
A partir d'un cahier des charges ou d'instructions, et sous la responsabilité d'un producteur, d'un journaliste ou d'un réalisateur, il/elle prend en charge le travail de montage d'un projet audiovisuel.
Les projets sont de dimensions très variables : des sujets courts pour les journaux télévisés ou d'autres émissions d'actualité (sportives notamment)..., des sujets de durée variable dans le cadre de la communication interne d'une société ou pour des Web TV, Web agency..., des films institutionnels ou des documentaires.
A terme, le/la monteur/euse graphiste vidéo peut prendre en charge le montage de clips vidéo, spots publicitaires et autres produits de promotion et être sollicité/e pour le montage de produits longs (téléfilm par exemple).
Le/la monteur/euse graphiste vidéo réalise des effets visuels, des trucages et des montages en “multicouches” (appelés “compositing”) et toute une gamme d'interventions d'amélioration d'un montage réalisé (“nettoyage”, corrections, modifications techniques).
Les horaires de travail peuvent être très variables.
Ils vous en parlent
David Vernier est formateur d'opérateurs de prise de vue, au sein d'une formation menée en partenariat avec l'INA. Diversité et exigence caractérisent le métier.
Aptitudes recherchées : bonne perception des couleurs, culture télévisuelle et cinématographique, capacité et goût du travail en équipe (écoute, propositions, adaptabilité), organisation.